Fiche d'identité.
| | | | Prénom Soran.
Âge : Vingt-trois ans à sa mort.
Nationalité : Kurde de naissance.
Espèce : Humain.
Pouvoirs : Force primaire : Soran est subitement fort, au point de pouvoir éclater une pierre en la serrant dans sa paume. Cependant, pour x temps plus fort, Soran devient impotent le même nombre de seconde/minutes/heure. Ce pouvoir est de moins en moins puissant au fur et à mesure que Soran l'utilise.
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Caractère
Rage : Maladie commune chez certains animaux qui peut se transmettre par morsure. Peut aussi être une violente colère destructrice, mais c’est moins courant.
Colère : Grande irritation des sens qui conduit à un comportement compulsif et suicidaire.
Suicidaire : Qui mène à l’échec
Peur : Sentiment ressenti face à une situation dangereuse, un ennemi ou une mort immédiate.
Courage : Permet de surmonter la peur et de créer des miracles, de changer le cours de son histoire ou de la continuer lorsque tout est sur le point de finir. N’apparait que très peu.
Calme : Attitude prédominante chez Soran, visible la plupart du temps, elle ne disparait que quand il est en train de se battre, car il déteste se battre. Frapper les autres est une façon trop simple de régler les conflits.
Échec : Jeu dans lequel on réfléchit, dans lequel on met tout en jeu pour faire tomber le roi adverse. C’est une aussi une situation à éviter.
Gentillesse : Pardon.
Soran : Mélange inexplicable et expliqué de d’échecs, courageux, rageur, calme et suicidaire à la fois, toujours enclin à vous et à se faire peur, bien qu’il reste impassible et plutôt affectueux la plupart du temps. Cependant, ne lui parlez pas de la guerre, de combat, ou d’autres vices humains qui conduisent à la mort. Il s’énervera très vite, sans pour autant tout de suite vous frapper, il vous fera comprendre que vous ne savez rien et qu’il en sait trop.
Solitude : Soran.
Physique.
Grand et élancé, se cogne facilement à toute sorte d’objet du haut de son mètre quatre-vingt-dix. Soran est une tâche foncée au milieu d’une communauté à la peau pâle, il dénote dans votre paysage si clair, si Américain. Il est plutôt musclé, sans entrer dans l’excès des culturiste, ni dans le l’hypocrisie des hommes d’affaires qui vont à la salle de sport pour se faire bien voir. Son visage brut détonne, ses yeux verts vous percent dès qu’ils vous regardent. Il a un nez aquilin, de longs cils, des sourcils broussailleux et des lèvres fines. Ses cheveux sont bruns, mi- longs et légèrement bouclés. Il porte généralement des habits simples et amples, en lin, cotons ou chanvre, il déteste les matières synthétiques. Soran se déplace rapidement, silencieusement, presque furtivement, sa démarche est nonchalante au possible mais discrète. Il porte au cou un collier de cuir fin qui se termine par un pendentif en bois, de son village natal. Ses épaules sont droites et habituées au métier du bâtiment qu’il exerce depuis qu’il a changé de pays ; Soran est au final, un ouvrier immigré sophistiqué.
Histoire.
Tout commença dans les années soixante-dix, lorsque les premières guerres ethniques et religieuses éclatèrent au Moyen-Orient, lorsque la mort frappa des gens qui autrefois partageaient les même idéaux. Certes, des conflits mineurs perduraient déjà ci et là, mais jamais le sang n’avait été autant versé. Les hommes se battaient, sans relâche, au nom d’une vision d’un dieu potentiel, ils tuaient et massacraient. C’est à ce moment que tout a commencé, et que des hommes comme « lui » sont apparus. Lui, c’est l’homme de trop, la lame qui a fait déborder le vase de sang. Il était déjà mondialement connu comme terroriste, fou et barbare, mais personne ne l’avait jamais arrêté : Des pays riches tenaient trop aux profits du chaos pour penser aux vies humaines perdues. Il s’installa au Kurdistan, l’un des pays les plus ravagés par la guerre, ruine de son passé. Et il y resta, vingt ans, se présentant comme le sauveur du peuple, incitant au carnage, à la libération, il fut un héros. Aujourd’hui je sais qu’il était plus un cloporte se nichant dans la plaie béante d’un cadavre pour y pondre ses œufs qu’un quelconque sauveur. Les sauveurs n’existent plus.
Je suis né en mille neuf cent quatre-vingt-dix, en pleine guerre, entre les balles et les obus qui s’éclatent. Mes premières années ne furent pas si difficile que ça, je vivais dans un camp de réfugiés, protégés par l’armée d’un pays riche aux dents blanches, nous étions presque heureux. Puis, il est arrivé. Ils ont tué tous les soldats, lui et son armée.
Ils auraient pu tuer tous les citoyens. Ou juste les hommes. Mais non, leur souhait était tout autre. Ils avaient décidé d’endoctriner les enfants. D’en faire des soldats. J’étais jeune.
Ils nous ont forcés.
J’ai tué ma famille.
Une petite armée prenait alors place, une armée d’un mètre quarante qu’on a entrainé jusqu’à n’en plus finir, qu’on a formaté dans la doctrine d’un dieu du carnage. Chaque jour, nous priions, chaque jour, nous maniions des armes, chaque jour nous nous battions entre nous, nous nous auto-décimions pour que seuls les plus forts restent. Je suis resté. Et un jour, le moment fut venu. J’avais quinze ans, et j’étais dans cette vieille camionnette, amas de tôles et de toiles qui roulait malgré elle. Le bruit des balles au loin, se faisait de plus en plus fort, la route, de plus en plus irrégulière. Les mines explosaient. On nous débarqua derrière un muret de pierre, dans ce qui semblait être un village mort, révulsé. On nous poussa au combat. Les premiers qui partirent moururent devant nos yeux, tailladés par les balles, debout et mort, poussés dans tous les sens sans pouvoir tombés. Ce qu’il s’est passé ensuite reste bien flou, mais quand je me suis réveillé, j’étais dans un avion, en route pour les États-Unis, VISA en poche.
Immigré et terroriste par naissance, j’eus beaucoup de mal à m’intégrer dans ce nouveau pays. J’obtins un travail d’ouvrier et vécus dans un appartement décent, jusqu’au jour de ma mort.
Je me promenais. Faisais mes courses. Je vivais.
Et la bombe explosa.
Mon corps ne fut pas brulé, je n’ai reçu aucun dégât physique, j’ai juste était propulsé, nuque la première, contre le mur le plus proche. Et je suis mort.
Terroriste de naissance et par la mort.
Et vous ?
Votre expérience en RP : J'ai été très actif un moment puis me suis calmé, sans plus.
De quel manga/BD/livre/anime/jeu…etc…est tiré votre personnage et quel est son nom ? : Il s'agit de Setsuna F. Seie du ~magniiiiiifique~ anime Gundam 00
Comment trouvez-vous le forum? : Cool
Comment avez-vous connu Entre Vie et Mort ? : TopSite au pif
Des changements à faire selon vous ? : Oui, mettez juste un espace avant et après vos "?" et ":" et tout sera parfait <3